samedi 7 décembre 2013

L'aurore

L'aurore
Friedrich Wilhelm Murnau
1927


  
L'aurore de Murnau raconte l'histoire d'un homme de la campagne qui tente de tuer sa femme, suite à la rencontre d'une autre femme venant de la ville. Pour la tuer, il invite sa femme à aller se promener sur l'eau afin de faire une sortie en amoureux. Il tente de la tuer durant cette soirée, mais il échoue. Apeurée, sa femme s'enfuit vers un tramway qui l'emporte en ville. Comme il la suit, il se rend lui aussi à la même place qu'elle. À deux, ils découvrent les bonheurs et les petits plaisirs de la ville. Puis doucement, ils retombent en amour. Amoureux fous, ils retournent à la maison, mais une tempête surgit sur l'eau et l'homme, seulement, réussit à retourner à la maison. Inquiet et frustré d'avoir perdu sa femme, il retourne voir sa maitresse, puis...
 



Noir et blanc, 1927, chef d'œuvre, voici ce qu'est L'aurore de Murnau. À l'époque, Friedrich Wilhelm Murnau a su prouver à tous qu'il maitrisait à merveille le langage cinématographique. En effet, ce film est brillant, extrêmement bien pensé et rien n'est laissé au hasard. On peut facilement le constater, lorsque l'on regarde attentivement les détails. Il y a un certain contraste entre la ville, la campagne et le bien, le mal. De plus, les acteurs jouent avec brio leur rôle. Le scénario est tout simplement formidable et j'imagine qu'à cet époque c'était aussi du jamais vu. Bref, je vous conseille ce film qui a première vu semble bien ordinaire alors que c'est totalement le contraire.



  
 

dimanche 24 novembre 2013

Quentin Tarantino

 
 
Quentin Tarantino, né le 27 mars 1963 à Knoxville au Tennessee, est un réalisateur hors pair, un scénariste, un producteur et un acteur américain. Dès son enfance, le cinéma faisait partie de son quotidien, car son père baignait déjà dans ce monde. D'ailleurs, il travailla vers la fin de son adolescence dans un cinéma ainsi qu'un club vidéo. Vers ses 22 ans, il réalisa son premier film en 16 mm et doucement sa carrière a commencé. De plus, comme il possède une formation d'acteur, il est possible de le retrouver jouer dans de courtes scènes de ces films. Bref, malgré plusieurs embuches sur son passage, le cinéma lui a toujours plu et il est maintenant un réalisateur reconnu dans le monde entier.



 
 

 
 Voici sa filmographie:


Reservoir Dogs, 1992

Fiction pulpeuse/Pulp Fiction, 1994

Desperado, 1995

Girl 6, 1996
Une nuit en enfer/From Dusk Till Dawn, 1996

Full Tilt Boogie, 1997
Jackie Brown, 1997

Kill Bill volume 1, 2002

Kill Bill volume 2, 2003

Sin City, 2004

Hostel, 2005

Boulevard de la mort/Death Proof, 2006
Planète terreur/Planet Terror, 2006
4 histoires de Sin City, 2006

 Le commando des bâtards/Inglorious Basterds, 2008

Django/Django Unchained, 2012
 
 

dimanche 17 novembre 2013

Monsieur Lazhar

Monsieur Lazhar
Philippe Falardeau
2011


















Monsieur Lazhar, un film dramatique québécois raconte l'histoire de Bachir Lazhar, un immigrant
algérien, qui remplace dans une classe primaire du Québec, car l'ancienne professeure s'est suicidée dans sa salle de classe. En plus de vivre des problèmes personnels, il doit aussi gérer ceux des élèves de la classe qui ont perdu leur enseignante. En effet, sa femme, sa fille et son fils sont morts dans un incendie criminel à Alger. Comme sa femme écrivait un livre traitant des lacunes sociales et économiques de l'Algérie, les criminels de cet incendie étaient, sans doute, les personnes dont parlait ce texte. Un autre de ses problèmes est qu'il peut être expulsé du pays n'importe quand. Bref, ce film parle de la vie de Bachir Lazhar dans ses hauts comme dans ses bas.
 
 
Pour ma part, j'ai adoré ce film, car le personnage principal que jouait Mohammed Fellag était si attachant. Un côté têtu, un autre humoristique complétaient à merveille ce personnage. L'histoire en tant que telle est aussi réussie, car elle mène à réfléchir à propos de plusieurs sujets, dont le racisme, la mort et les conflits en Algérie. De plus, le film représente bien les multiples défis que les professeurs doivent surmonter en travaillant dans un milieu scolaire, et ceci est présenté avec réalisme. Le fait qu'il ait été engagé sans problème, alors qu'il n'était même pas un enseignant certifié serait le seul point négatif que j'ai trouvé à l'histoire. Les jeunes comédiens ont, quant à eux, bien joué leur rôle et ils sont très touchants. Pour conclure, Monsieur Lazhar est un film simple, bouleversant, déstabilisant à voir au moins une fois dans sa vie.
 

dimanche 10 novembre 2013

Le mercredi Ciné-Club

Cette semaine dans le cadre du cours «Techniques de création vidéo», j'ai pu visionner trois films : Peur[s] du noir, American Splendor ainsi que Persepolis. Ces trois derniers sont des longs-métrages mettant en vedette la bande dessinée au cinéma.
 
 
 
 
Peur[s] du noir
Blutch, Charles Burns, Marie Caillou,
Pierre di Sciullo, Lorenzo Mattotti, Richard McGuire
2008



Peur[s] du noir est un film d'animation contenant 6 cours-métrages ayant pour thème la peur. Ces cours-métrages abordent plusieurs peurs, dont la peur du noir, la peur des insectes, la peur
des chiens, la peur des bruits, la peur des aiguilles, la peur des cauchemars, la peur de mourir,
la peur de la neige... De plus, puisque chaque petite histoire entrecroise les autres ce qui nous
permet de nous concentrer davantage et d'entrer dans ce pays de l'angoisse. Pour terminer, ce film en noir et blanc nous propose la peur dans tous ses états et quelques fois sous forme de frissons....

 
Pour ma part, j'ai été captivée dès le début du film Peur[s] du noir puisque je voulais savoir la suite de ces cours-métrages qui étaient entrelacés les uns aux autres. De plus, j'ai adoré le choix 
que les réalisateurs ont fait à propos de l'absence de couleurs, car cette obscurité procure un effet très effrayant. Dans ces six cours-métrage, il y en a un qui m'a particulièrement plu puisque l'on
pouvait y voir une relation amoureuse qui, avec le temps, devenait catastrophique dû principalement à un insecte. La qualité d'image est aussi très surprenante, car malgré le fait que ce sont
des dessins juxtaposés qui forment le tout, il y a un bel enchainement des images.
 
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American Splendor
Shari Springer Berman et Robert Pulcini
2003
 
 
American Splendor est un long-métrage présentant la vraie vie d'Harvey Pekar, un américain ordinaire, qui un jour se met à écrire des histoires de bandes dessinées. Avant tout, c'est un passionné de musique jazz et c'est grâce à cette dernière qu'il fera une rencontre importante qui changera donc le cours de sa vie. Cet homme travaillant depuis toujours comme documentaliste dans un hôpital s'inspire de sa vie pour écrire ses histoires. Il est donc très fréquent d'y retrouver ses collègues de travail en tant que personnage. Dans le film, on y présente sa vie à l'aide de la bande dessinée. D'ailleurs, il y a le personnage principal d'Harvey Pekar qu'incarne Paul Giamatti, celui dessiné et le vrai Harvey Pekar, donc l'histoire se rapproche à un documentaire sur sa vie.

 
American Splendor la bande dessinée, le vrai et l'acteur.

Suite au visionnement de ce film, j'ai trouvé qu'une vie aussi banale que celle d'Harvey Pekar était intéressante à présenter, car rares sont les films de ce genre. De plus, j'ai apprécié les 3 personnages d'Harvey Pekar, sous différentes formes, car on pouvait réellement y voir tous les côtés de sa personnalité. Le fait que les scènes soient divisées en case de bande dessinée a apporté une petite touche de beauté à cette œuvre. Je crois que l'originalité de ce film est de présenter un homme banal au grand écran. En somme, j'ai été charmée par ce long-métrage malgré le fait qu'il contenait quelques longueurs, car il présentait un homme ordinaire au quotidien dans toute sa simplicité.


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Persepolis
Vincent Paronnaud et Marjane Satrapi
2007
 

 

Marjan Satrapi, que nous voyons dans l'image ci-haut, est l'auteure et la dessinatrice de Persepolis, quatre albums de bande dessinée qui ont été adaptés au grand écran sous forme d'un film d'animation. Ce long-métrage raconte donc la jeunesse de cette dame. L'histoire commence en 1979 à Téhéran lorsqu'elle avait environ neuf ans et nous raconte sa vie dans les moindres détails comme quand ses parents l'ont envoyé en Autriche. En passant par la quête de son identité, on découvre le personnage principal dans son ensemble. On y voit aussi l'histoire et la représentation assez fidèle de l'Iran qui à cette époque a vécu le renversement du Shah et la Révolution iranienne.
 

 De mon côté, l'œuvre autobiographique de Marjane Satrapi m'a bien plu, car j'ai beaucoup appris à propos de l'historique de quelques événements importants de l'Iran. L'usage du noir et blanc était significatif et mettait en valeur la noirceur de la politique existante en Iran dans ces années malgré l'humour qui était présent dans ce long-métrage. De plus, j'ai adoré le fait que le sujet soit toujours actuel et qu'il nous mène à réfléchir. Pour terminer, ce qui m'a le plus touché est le lien qu'avait Marjane et sa grand-mère, car il y avait beaucoup d'affection et de complicité entre ces dernières. Bref, l'émotion est de mise dans ce film qui contient des images si belles et puissantes.

 

dimanche 20 octobre 2013

La folle journée de Ferris Bueller

La folle journée de Ferris Bueller
John Hughes
1986


De la gauche vers la droite: Ferris, Sloane et Cameron.


La folle journée de Ferris Bueller raconte l'histoire de Ferris Bueller, un jeune homme en dernière année du secondaire, qui ne cesse de sécher les cours afin de profiter de la vie. Tout au long de ce long-métrage, nous le suivons accompagné de sa copine et d'un de ses bons amis faire des folies dans la ville de Chicago, alors que tout le monde le croit malade, couché dans son lit. Par exemple, comme le père de Cameron, son ami, possède une voiture de collection, ils en profitent pour se promener avec. Cependant, le directeur d'école et sa sœur tentent de prouver aux gens que Ferris ne fait nul autre que mentir, qu'il est en pleine forme et qu'il devrait être à l'école. Alors, parviendront-ils à s'amuser sans se faire prendre?

 
 
Durant le film, j'ai repéré sept prises de vues en fonction du montage:

- La loi du 180 degrés ou la théorie de la ligne imaginaire
Dès la 59e minute du film, il y a la théorie de la ligne imaginaire lorsque les trois amis sont assis dans une voiture de taxi à côté de celle du père de Ferris, car il n'y a aucune inversion de la position des sujets.

- Le changement de format de plans
Il y a un changement de format de plans vers la 57e minute du film lorsque Cameron observe une petite fille sur une œuvre d'art qui regarde elle aussi dans sa direction. Au départ, c'est un plan moyen, ensuite un plan rapproché taille, un plan rapproché épaule, un gros plan et pour terminer un très gros plan sur se yeux.

- La direction des regards
À 01:35:03 lorsque la sœur de Ferris discute avec lui vers la gauche et avec le directeur vers la droite, il y a une très bonne direction des regards, car les personnages regardent du même côté du début jusqu'à la fin de la discussion.

- La coupure franche
Puisque les coupures franches représentent près de 80% d'un montage, j'en ai identifié deux. À 01:12:01 et à 01:16:45, il y a une coupure franche entre deux scènes.

- L'ellipse
À 01:36:33 nous ne voyons pas les parents de Ferris monter l'escalier après leur journée de travail pour aller vérifier si ce dernier se porte bien, donc il y a ici un ellipse puisqu'on a éliminé du récit une action qui rallongerait l'histoire.

- L'insert
À 01:30:12, il y a un insert sur la montre de Sloane lorsque Ferris a terminé de l'embrasser afin d'attirer l'attention du spectateur sur l'heure, ce qui permet à l'action de progresser.

- La scène alternée
Il y a deux scènes alternées à la fin de ce long-métrage lorsque Ferris court pour revenir chez soi à l'heure avec la scène où sa sœur ainsi que sa mère reviennent du poste de police et celle où son père revient du travail. Cela consiste à montrer plusieurs actions simultanées en alternance.



Suite au visionnement de ce film, un petit sourire en coin était accroché sur mes lèvres ce qui, je crois, représente bien le fait que j'ai aimé cette comédie. Dès le début du film, le personnage de Ferris Buller est tellement charmant qu'il en devient difficile de ne pas l'approuver dans ses choix, ce qui nous amène à détester sa sœur et le directeur d'école assez rapidement. De plus, l'humour qui prend une assez grande place dans le film est bien utilisé ce qui fait en sorte que nous en voulons toujours plus. Il y a aussi une trame sonore représentative du plaisir et de la jeunesse comme par exemple nous pouvons y entendre des chansons des Beatles ce qui nous fait sentir l'atmosphère de la liberté. Pour terminer, j'ai adoré le film dans son ensemble, mais il y a un petit quelque chose qui m'a le plus accroché. C'est lorsque nous comprenons que Ferris veut sécher les cours pour avoir du plaisir et non parce qu'il est fatigué d'aller à l'école. Je crois que cette façon de penser, nous amène à prendre l'école à la légère tout le long du film. Bref, que vous soyez petits ou grands, je vous le recommande, car il saura vous faire rire et peut-être même que vous vous identifierez à un des personnages.

mercredi 9 octobre 2013

Le mercredi Ciné-Club

Cette semaine dans le cadre du cours «Techniques de création vidéo», j'ai pu visionner deux péplums. Mais avant tout, qu'est-ce qu'un péplum? Un péplum c'est un film dont l'action se déroule dans l'Antiquité, plus précisément dans l'Antiquité grecque, romaine, égyptienne ou biblique. Alors, Troie et Agora sont les deux péplums que j'ai écouté mercredi après-midi dernier.



Troie
Wolfgang Peterson
2004




Dans la Grèce antique, Pâris, le prince de Troie, follement amoureux d'Hélène, la reine de Spartes, enlève cette dernière pour l'amener avec lui. Au même moment, Ménélas le prince de Spartes furieux de cet enlèvement demande à Agamemnon, le roi de Mycènes, de l'aider afin de libérer Hélène de Troie. C'est ainsi que plusieurs armées grecques et leurs dirigeants, dont Ulysse et Achille ont suivi Ménélas et Agamemnon dans cette conquête. Un grand défi oppose donc ceux-ci, car encore aucune armée n'a réussi à pénétrer dans cette cité. Pour sa part, Agamemnon espère seulement agrandir son vaste empire et réussir a contrôlé Troie. Quant à lui, Achille, le plus grand guerrier de son époque reconnu pour son arrogance et sa réputé invincible adviendra à attaquer les portes de Troie. En somme, ce film est une conquête d'honneur et de pouvoir.
 
 
Pour ma part, comme je n'ai jamais eu beaucoup d'intérêt envers les films se déroulant dans l'Antiquité, je suis arrivée de reculons à cette activité, mais à ma grande surprise j'ai su apprécier plusieurs moments de l'histoire. Tout d'abord, j'ai adoré les décors et les costumes qui sont si authentiques, car ils nous transportent facilement dans la Grèce Antique. Au courant de cette histoire, il y a beaucoup d'actions, souvent des batailles opposants les Troyens et les Grecs, qui captent notre attention et réduisent les longueurs que ce long-métrage aurait pu avoir. De plus, il y a plusieurs moments marquants hors des champs de bataille ce qui agrémente le tout. Pour conclure, je pense que Troie nous permet de vivre d'une façon assez réaliste la bataille de Troie comme on l'a connait de nos jours. Je conseillerais ce film malgré les quelques longueurs qu'il contient.


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Agora
Alejandro Amenábar, Maeto Gil
2009



Le film Agora se déroule à Alexandrie en Égypte à l'époque romaine et il nous raconte l'histoire d'Hypatie d'Alexandrie, une philosophe et mathématicienne grecque. Cette dernière enseigne les théories d'Euclide à un groupe d'étudiants cependant à l'extérieur des cours, elle souhaite approfondir ses connaissances du modèle géocentrique de Ptolémée, un astronome et astrologue grec ayant lui aussi vécu à Alexandrie afin de mieux comprendre les lois de l'univers. À cette époque, la science et la religion s'opposent, ce qui amène un conflit d'une grande envergure dans cette ville, alors Hypatie et ses disciples vivent dans la grande Bibliothèque. Deux jeunes hommes à qui elle enseigne, Davus et Oreste, sont éperdument amoureux d'elle et tente à tour de rôle la séduire. Quant à lui Oreste lui déclare son amour en public, mais cette dernière refusa, car elle se voue à l'étude. Comme la religion occupe de plus en plus de place, Hypatie tente de convaincre ses élèves que la philosophie est laïque, donc distincte de la religion. D'autres conflits ont lieu, mais qu'adviendra-t-il à Hypatie qui s'oppose à ses tensions?
 
 
Suite au visionnement des deux films, j'ai préféré ce dernier, Agora, car il mettait en vedette une femme et pas n'importe laquelle, c'est une philosophe et mathématicienne grecque. Je trouve que le fait qu'elle soit de sexe féminin ajoute un plus à l'histoire, car rares sont les films de l'Antiquité qui opposent une dame à la société. De plus, j'ai été étonnée de constater que le film était très fluide, malgré la complexité du scénario. Le thème de la religion m'a énormément plu puisqu'il est encore actuel de nos jours, et en visionnant ce long-métrage on remarque rapidement qu'il y a plusieurs liens entre l'Antiquité et aujourd'hui en ce qui concerne les débats. Les décors sont, quant à eux, très réussis, car on se croirait réellement à Alexandrie ce qui encore une fois a agrémenté le tout. Bref, je dois avouer qu'en sortant de mes horizons, j'ai bien aimé ce film pour plusieurs raisons, dont la qualité du scénario et la beauté des personnages.

dimanche 6 octobre 2013

La lumière de décrochage



 
 
 
Voici trois publicités contenant une lumière de décrochage, c'est-à-dire une lumière qui éclaire le sujet par derrière donc le contour des épaules et des cheveux afin de le détacher du fond.

Comme vous pouvez le remarquer la première image, celle du haut, dénonce les messages textes au volant. Pour ce faire, on compare les messages textes à un coup de poing, donc à la violence. Pour les deux dernières images, on dénonce l'abus d'alcool avec un court texte très efficace. Dans ce texte nous pouvons y lire que sans même s'en rendre compte, l'abus d'alcool peut faire peur, qu'il est difficile d'en parler lorsque le plaisir est devenu une maladie et on nous prévient aussi de ne pas l'essayer nous-mêmes, donc de ne pas se rendre à ce stade où l'alcool prend le pouvoir sur nous, car il peut s'avérer difficile de s'en sortir.